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 « La fin des jalousies, c'est l'indifférence » ; Derek

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Rébéca D. Lemay
A d m i n i s t r a t r i c e

Rébéca D. Lemay


« La fin des jalousies, c'est l'indifférence » ; Derek 090909031513747344413611
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MessageSujet: « La fin des jalousies, c'est l'indifférence » ; Derek   « La fin des jalousies, c'est l'indifférence » ; Derek Icon_minitime1Sam 2 Jan - 23:37


Derek & Rébéca

« La fin des jalousies, c'est l'indifférence » ; Derek Sans_t21 « La fin des jalousies, c'est l'indifférence » ; Derek Sanstitre22p
Metamorphosis & LD
« L’amour, sans la jalousie, n’est pas l’amour »
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Aujourd’hui c’était le grand jour, le jour du défilé. J’avais été désignée pour être la mannequin vedette, je devrais faire un nombre record d’aller-retour pour présenter diverses tenues, je ferais également le final par conséquent : la traditionnelle robe de mariée. Pour l’occasion du défilé, la salle spécifique avait été aménagée façon ancien château, avec un énorme escalier par lequel nous devions descendre à défaut de défiler sur une simple estrade. Nous étions depuis déjà des heures dans les loges à se faire préparer par les coiffeurs et maquilleuses, à suivre les dernières recommandations et directives du styliste, à se voir attribuer les tenues définitives avec les retouches qui vont avec. C’était l’effervescence ici, les filles ne tenaient pas en place, les employés couraient dans tous les sens, il fallait que tout soit parfait pour le commencement… qui aurait lieu dans quelques minutes ! Bon, je faisais l’ouverture, alors il me fallait me tenir prête, ce n’était pas un problème je l’étais déjà et contrairement aux autres j’étais calme, presque indifférente à ce qui aller se dérouler dans quelques instants. Patientant dans l’attente du signe et du début de la musique qui rythmerait notre marche, je devais prendre garde à ne pas défaire quoique ce soit. Quand l’heure fut enfin venue, je m’avançais, tête haute, regard fixe, c’était parti !

Spoiler:

Malgré ce que certains pouvaient penser, ça avait de quoi être crevant. Nous ne nous bornions pas à défiler sur un podium dans de magnifiques tenues, dernière tout ça c’était un véritablement bouillonnement très fatiguant. Il fallait constamment courir, pas une minute à perdre et surtout ne rien laisser paraître de cela une fois que nous revenions devant le public qui nous observait minutieusement. Je buvais de petites gorgées d’eau pendant qu’une coiffeuse d’occupait de mes cheveux pour la énième fois. C’était bientôt le temps du final, et la robe de mariée - une robe splendide digne d’une vraie princesse - reposée sur un cintre dans une house juste à côté de moi. Après ça, il y aurait l’after, une soirée réunissant tout le monde : le créateur, les mannequins, des grands noms du show-biz, des journalistes et photographes, et les autres différentes personnes ayant assisté au défilé. La plupart ne se connaissaient pas, mais tous faisaient comme si c’était le cas, comme s’ils étaient tous des amis de longues dates. J’avais enfilé la robe maintenant, une dernière retouche au maquillage et je devrais fouler les marches de l’escalier au bras du styliste, telle une vraie mariée. « Il faut y aller ! » C’était l’heure, je me tenais en haut de l’escalier et les premières notes de musique retentirent à nouveau. Nous aurions presque pu croire assister à un vrai mariage avec une foule d’invités, c’était assez marrant en y pensant. Arrivés en bas, on venait me remettre le bouquet de circonstance et le créateur me faisait la bise sous les applaudissements de tout le monde. Le défilé était une réussite pure et simple ! Stoppée ainsi puisque c’était fini, je scrutais négligemment la foule quand mon regard fut attiré par quelqu’un. Était-ce possible ? Était-ce réellement lui ? Derek… Derek se tenait là debout dans la foule, une pimbêche pendue à son bras. Je n’arrivais pas à le croire ! Pourtant je n’en laissais rien paraître, après tout j’étais comédienne non ? Je gardais le sourire éblouissant que je me devais d’afficher du moins jusqu’à ce que je retourne aux loges.

Spoiler:

Débarrassée de la robe pour un jean et un T-shirt de grand créateur, maquillée plus légèrement, cheveux libres mais bien coiffée tout de même, je m’apprêtais à quitter les loges pour le party. Qu’est-ce qu’il faisait là ? Sans doute que la mode était la lubie de sa nouvelle passade mais comme par hasard il avait fallu que ça tombe sur ce défilé là précisément ! Nous ne nous étions plus revus depuis la panne d’ascenseur et je ne m’attendais pas à le revoir de sitôt. Mais bon je n’étais pas mécontente d’avoir une occasion de le voir, non c’était plutôt le fait qu’il soit accompagné par « ça » qui me dérangeait mais j’aurais dû le savoir. Le tombeur de ces dames étaient de retour pour leur plus grand plaisir, c’était un juste retour des choses hein… Pénétrant dans la salle de l’after, je fus mitraillée pour les photographes, comme de coutume je devais leur accorder un peu de temps, quelques poses, quelques sourires puis je les laissais. Bien vite je fus entourée de diverses personnes, particulièrement des représentants de la gente masculine. Bien entendu, ils étaient pour la plupart mannequins ou autres célébrités et donc beau à damner mais j’avais un autre jeune homme hantant mes pensées malgré moi. J’aurais bien aimé réussir à me concentrer sur ces splendides créatures m’entourant, mais je n’y arrivais pas. Je leur parlais mais mes yeux le cherchaient Lui. Je ne mis pas longtemps à le trouver, avec elle toujours… Rien que de loin je savais déjà qu’elle représentait tout ce que je détestais : belle mais à la tête aussi vide qu’un ballon, le genre niaise et j’en passe. Rien que d’y penser, ça m’exaspérait. « Dylan ! » Je me retournais vers la voix, il n‘y avait pas beaucoup de personne qui me surnommaient à l‘aide de mon second prénom. C’était Leandro. Un magnifique mannequin Italien avec qui j’avais très sympathisé. Il n’essayait pas sans arrêt de me draguer lui et il était marrant. C’était mon confident en quelques sorte et je me jetais dans ses bras en riant. « Leandro ! Je suis heureuse de te voir, comment tu m‘as trouvé ? » Des rumeurs avaient couru il y a quelques temps comme quoi nous étions un couple à cause de notre proximité, mais ce n’était que des mensonges, il n’y avait rien de plus que de l’amitié entre nous, je l’adorais comme un frère et lui avait tendance à me protéger comme une petite sœur. « Parfaite comme d'habitude Beth ! » Et nous partîmes d'un grand éclat de rire avant de passer de groupe en groupe pour saluer et parler un peu avec tout le monde. Nous finîmes bien sûr par tomber sur Derek et sa greluche. « Salut Derek, je suis étonnée ! » Dis-je en lui faisant la bise alors que je n’adressais qu’un vague signe de tête à sa compagne. Un seul regard à Leandro suffit pour qu’il comprenne la situation, il était au courant de ma relation et de mes sentiments envers Derek…
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Derek Law
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Derek Law


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MessageSujet: Re: « La fin des jalousies, c'est l'indifférence » ; Derek   « La fin des jalousies, c'est l'indifférence » ; Derek Icon_minitime1Dim 3 Jan - 19:28

    « La fin des jalousies, c'est l'indifférence » ; Derek Sans_t21 « La fin des jalousies, c'est l'indifférence » ; Derek Sanstitre22p

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Andréa était arrivée chez moi avec vingt bonnes minutes d'avance. Je n'étais pas encore prêt, à vrai dire je sortais de la douche et c'est avec une serviette enroulé autour de ma taille que je lui ouvris la porte. Elle s'immobilisa quelque secondes, admirant ma musculature puis, posant sa main sur mon torse se mis sur la pointe des pieds et m'embrassa.

_ Oh tu es tellement beau mon Derek chou !

Bon, elle non plus n’était pas dotée d'un QI très... Elevé. N'empêche que je l'appréciais, un peu, elle était peut être belle comme pas possible et doté de forme avantageuses là où il faut, elle était d'une stupidité telle qu'elle me divertissait ! Pour une fois je ne mourrais pas d'ennuie avec la fille avec qui je couchais.

_ Bon tu t'assoies là et tu m'attends d'accord? Touche à rien, j'ai passé un temps fous à tout faire briller, je ne veux pas de marque de doigts. Tiens, tu n'as qu'à regarder la télé.


_ Est-ce que je peux te regarder te préparer?

_ Non, reste là je t'ai dit.

_ Ouarf...

Bon tout compte fait, cette fille était aussi soulante que les autres. Heureusement il ne me restait plus que quelques heures à la supporter avant qu'elle ne disparaisse de ma vie. Je m'y tenais à ce code: pas plus de quarante-huit heures avec la même fille.
Une fois près, elle s'agrippa à mon bras et nous partîmes à l'agence de Mannequin du coin. Andréa était une mordue de mode et m'avait "forcé" à assister à un défilé de mode d'un créateur dont j'avais oublié le nom. A vrai dire, elle ne m'avait pas tellement forcé, j'étais content d'y assister, ce serait encore plus simple pour moi de trouver sa ou ses remplaçantes. Mmmh, des dizaines de jolies filles, minces et grandes, d'une beauté extraordinaire! J'en rêvais déjà.
Une fois assis, Andréa tout excitée sauta à moitié sur sa chaise et je du la faire cesser en lui disant de ne pas se faire remarquer. Le défilé commençant, je regardais captiver, les mannequins qui se déhanchaient jusqu’à ce qu'une en particulier retienne mon attention. C'était limite un choc, bien que j'aurais dû m'en douter: Rebecca défilais. J'avais suivit ses quelques exploit depuis le journal hebdomadaire de la ville mais à aucun moment je n'aurais cru assister à l'un de ses défilé. Elle enchaina les tenues, certaines moins belles que d'autres, d’autres plus sexys. Quand vint le final, je fus bouche-bée, c'est elle qui portait la fameuse robe de mariée de fin, et j'étais époustouflé, émerveillé par le spectacle qu'elle m’offrait... Ou plutôt qu'elle offrait à tous. Je regardais autour de moi et vis tous ces hommes la langue pendante au simple regard de MA Rebecca.
Quand ce fût fini, la seule chose que je voulais faire c'était partir. Mais Andréa tenait absolument à assister à l'after, dans le but de se faire remarquer et d'être prise comme mannequin. Elle ne devait pas être au courant que ses petites poignets d'amour allaient l'en empêcher.
Rebecca fit son apparition que quelques minutes après et fut prise en photos par un grand nombre de photographes et la jalousie refit surface, c'était pourtant stupide. Resserrant mon étreinte autour de la taille d'Andréa, je discutais, une flute de champagne à la main, avec un dénommé Houston, un styliste apparemment. Il regardait avec grand intérêt ma "compagne" mais c'est seulement après avoir remarqué ses intonations dans la voix que je compris. C'est moi qu'il voulait charmer. Andréa se mit à discuter avec lui et j'en profitais pour chercher Rebecca des yeux. Elle discutait avec un beau latino, un italien sans doute. Elle fini par s'approcher de nous et pris la place de Houston. A l'arrivée de Rebecca je lâchais Andréa qui me fusilla du regard, sans pour autant s'en aller.

_ Salut Derek, je suis étonnée.

Et moi dont !

_ Moi pas tant que ça. Enfin, que j’assiste a un défilé où toi même tu es sur le podium si, mais pas de te trouver là, je lis le journal, comme tout le monde. Peut-être suis-je humain au final ! Dis-je en rigolant.

Andréa me donna un coup de coude dans les côtes, elle me regarda moi, puis Rebecca et fit la moue.

_ Je te présente Andréa ma…

_ Compagne ! Me coupa t-elle en se fourrant sous mon bras.

_ En quelque sorte…
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Dernière édition par Derek Law le Mar 5 Jan - 17:51, édité 1 fois
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Rébéca D. Lemay
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Rébéca D. Lemay


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MessageSujet: Re: « La fin des jalousies, c'est l'indifférence » ; Derek   « La fin des jalousies, c'est l'indifférence » ; Derek Icon_minitime1Lun 4 Jan - 2:39


    « La fin des jalousies, c'est l'indifférence » ; Derek Sans_t21 « La fin des jalousies, c'est l'indifférence » ; Derek Sanstitre22p

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Au moment précis où j’étais arrivée devant eux avec Leandro, il avait immédiatement lâché la taille de sa greluche, laquelle lui décocha un regard des plus noirs. J’aurais presque sourit devant la scène si cela n’aurait pas été déplacé ; mais puisque ça l’aurait été je m’abstenais de tout sourire, rire ou commentaire. Derek était vraiment la dernière personne que je m’attendais à voir ici, quoique… c’était peut être le contraire, le fait de ne jamais l’y avoir vu, après tout c’était son genre les filles belles et grandes non ? Cette pensée ne me rappela que trop douloureusement ses mœurs et j’eus un petit pincement au cœur que je m’empressais d’oublier ; écarter bien loin toutes ces réflexions, voilà ce que je me devais de faire ! Je connaissais Derek, ce n’était pas une surprise… « Moi pas tant que ça. Enfin, que j’assiste a un défilé où toi même tu es sur le podium si, mais pas de te trouver là, je lis le journal, comme tout le monde. Peut-être suis-je humain au final ! » me répondit-il en rigolant, me faisant esquisser un sourire. Puis je pensais : s’il lisait ces fameux journaux est-ce que… connaissait-il les rumeurs qu’on faisait courir à mon sujet ? Tous les petits amis qu’on me prêtait et j’en passe ? Bizarrement, j’espère bien que non… bien sûr, j’étais en droit d’aller voir ailleurs, tout était fini entre nous n’est-ce pas ? Lui-même avait reprit ses habitudes et s’affichait avec cette espèce de… bimbo. Bimbo qui me lançait des regards qui - si elle n’était pas en sa compagnie et que nous n’étions pas dans un lieu bourré de monde et de paparazzis - lui aurait valu de se faire refaire le portrait à ma façon ; non mais pour qui se prenait-elle ?! Puis je remarquais le coup de coude de la demoiselle, ainsi que l’échange de regard insistant. Quoi elle se sentait délaissée peut être ?! Il fallait en plus faire les présentations. « Je te présente Andréa ma… » Finit par commencer Derek avant que la pimbêche ne le coupe avec son « compagne » accompagné d’un geste pathétiquement possessif envers lui. Elle avait peur ? Tss, de toute manière elle virerait en moins de deux alors bon. Elle avait de l’espoir si elle se prenait pour sa compagne, beaucoup trop ! Parce que franchement si je ne croyais pas celle-là… Quoiqu’il en soit, je retenais à nouveau un rire, surtout quand Il ajouta « En quelque sorte… » La mine de la dite Andréa se décomposa sans pour autant qu’elle ne le lâche ; dans les dents ma vieille. Toujours en l’ignorant je répétais la politesse en présentant mon escorte mais en ne m’adressant qu’à Derek. « Leandro, un ami mannequin ; Derek un… » Leandro était déjà au courant de l’histoire et je savais déjà comment je qualifierais Derek pour ne rien révéler de gros, mais je jouais sur l’hésitation pour encore plus faire enrager la décolorée. « … un vieil ami. »

Bon ok, j’avoue que mon comportement n’était pas des plus adultes, mais rien qu’à la voir cette fille m’énervait ; surtout que pour ne rien arranger à l’affaire, elle était sa dernière nuit en date et se trouvait juste devant moi à tenter de me faire croire l’impossible : qu’il y avait réellement quelque chose entre eux deux et que je ne devais pas approcher. Elle était bien bonne celle-là, comme si je croyais ne serait-ce que deux secondes à son jeu bidon ! Et comme si elle était en mesure de m’empêcher de m’approcher de MON Derek si j’en avais envie, elle rêvait ! « Rébéca ! Leandro ! » Des photographes à nouveau, ils prenaient des clichés de la soirée et de ses invités ; bien entendu en mannequin vedette du défilé ils ne me louperaient pas. Ils prirent quelques photographies du groupe de quatre que nous formions avant de me remercier en s’éloignant. Une d’elles paraîtraient peut être demain dans un magasine, j’imaginais déjà la description : Rébéca et Leandro à nouveau pris ensemble accompagnés de deux amis non identifiés. Ca ferait certainement plaisir à la fille d’être affichée, sans doute n’attendait-elle que ça, j’avais bien remarqué son comportement. Si tel était le cas, un vague regard vers elle me permit de comprendre qu’elle n’avait pas ce qu’il fallait, quel dommage… Quelques personnes me saluèrent encore en passant, des compliments fusaient, un me fit même rire : il venait d’un couturier de renom extrêmement sympathique loin d’avoir la grosse tête, qui s’était exclamé. « Je t’épouserais presque rien que pour avoir l'immense plaisir de pouvoir à nouveau te contempler dans une robe de mariée - de ma création bien sûr ! Tu étais simplement divine. » J’avais éclaté de rire puis l’avais remercier avant de lui donner une accolade quand il nous quitta. Enfin un peu plus tranquilles, je retournais à la conversation. « Tu as aimé le défilé Derek ? » J’avais réellement envie de connaître son avis, une preuve de plus que je ne parvenais pas à tourner la page de notre histoire, quand bien même on pouvait dire que histoire il y avait eu… Refusant de me laisser aller à de telles pensées sombres, je me forçais à garder le sourire et à défier continuellement du regard cette pimbêche qui se permettait bien trop de liberté à mon goût envers Derek. Elle voulait vraiment que je l’étripe c’était pas possible autrement ! Heureusement Leandro était, au moins j’avais une présence amicale à mes côtés pour me soutenir… Enfin jusqu’à ce qu’on l’appelle sans lui laisser le choix de venir ou non. Ce fut avec un regard désolé pour moi qu'il s'excusa auprès de nous avant de m’embrasser sur la joue et de s’éclipser, me laissant toute seule face au pseudo couple…
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MessageSujet: Re: « La fin des jalousies, c'est l'indifférence » ; Derek   « La fin des jalousies, c'est l'indifférence » ; Derek Icon_minitime1Sam 9 Jan - 12:16

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    Lorsqu'elle me présenta à Léandro comme étant un vieil ami j'eus comme chaud au coeur. Un ami de longue date est une personne que l'on garde bien au fond de son coeur, une personne qu'on apprécie beaucoup, quelqu'un qu'on ne veut pas oublier et qui compte pour nous. Alors que Rebecca me qualifie comme tel me plu. Je ne pus décrocher mon regard de son corps : habiller ainsi elle incarnait la décontraction mais avec une telle classe que ça en était presque absurde: oui sa beauté, l’effet qu’elle produisait sur moi était grotesque et pourtant bien réelle. Sentant le regard pesant de mon accompagnatrice je changeais d’orientation mon regard qui se posa sur une horde de photographes qui s’approchait à grands pas. Ce qu’ils convoitaient n’était pas difficile à comprendre. On lisait sur tous les magazines que Rebecca et Léandro avait une histoire d’amour cachée qu’ils n’osaient pas dévoiler, alors, les voir ainsi côte à côte devait émoustiller les papilles de ces prédateurs de paparazzi. D’ailleurs les crient des bêtes ne se firent pas attendre.

    « Rebecca ! Léandro ! » Criaient-ils.

    C’est avec grâce et un sourire époustouflant que Rebecca se mit de côté afin d’être prise de son meilleur profil. Nous étions tous les quatre dans le cadre de l’objectif et je me demandais laquelle de ces photos serait affichée sur le journal le lendemain. Je voyais déjà les gros titres « Le couple de star et des inconnus ». Une fois dispersés Rebecca détailla Andréa d’un drôle d’œil. Etait-ce de la jalousie que je discernais dans son regard ? Oui ! C’était cela j’en étais sûr.
    Après quelques seconde un drôle de bonhomme, habillé avec classe toutefois, s’approcha de Rebecca et la complimenta sur le défilé. « Je t’épouserais presque rien que pour avoir l'immense plaisir de pouvoir à nouveau te contempler dans une robe de mariée - de ma création bien sûr ! Tu étais simplement divine. » Divine ? Mon gars change de lunette, elle était plus que cela ! Me dis-je dans ma tête. Il resta là quelques minutes à échanger des mots avec Rebecca et Léandro, ce qui avait le don de m’exaspérer et pas que moi : Andréa fulminait, elle ne devait pas être habituée à être écarter de la sorte. Puis Rebecca le pris dans se bras, l’enlaçant dans une accolade amicale. Non, cette fois-ci je n’étais pas jaloux, mais soulagé. Pas jaloux parce que je ne pouvais l’être de ce type, ce n’était pas le genre de Rebecca du tout, plus âgés de plusieurs années et il était probablement gay. Soulagé parce qu’enfin j’allais pouvoir lui reparler.

    _ Tu as aimé le défilé Derek ?

    La question ne se posait même pas. J’avais adoré, mais juste parce qu’elle était là, sinon j’aurais apprécié, c’est sûr, voir toutes ces jolies filles se déhancher sur un podium rien de mieux. Léandro fut appelé et s'excusa avant de nous quitter.

    _ Oui c’était pas mal, même si les défilés ce n’est pas vraiment mon truc. Qu’en as-tu pensé toi, Andréa ?

    _ Mouais… Je m’attendais à beaucoup mieux quand même !

    Quel mensonge. Mais bon, je ne pouvais pas lui en vouloir d’être folle de jalousie de Reb’. Rebecca était parfaite, alors qu’elle… Andréa était très belle mais Reb avait plus que ça, plus qu’une beauté superficielle.

    _ C'est parce que tu regardes trop la télé.

    _ C'est pas vrai ...Me fit-elle avec une moue d'enfant vexé.

    Je ne pu retenir un rire et Andréa en fut d'autant plus vexée. C'est avec une mine boudeuse qu'elle me dit qu'elle allait aux toilettes.
    Enfin seul avec Rebecca, ce n'était pas trop tôt, et le prochain qui venait s'incruster aurait affaire à moi ! Tout le monde autour de nous discutait, buvait, rigolait et j'avais pourtant l'impression que ce n'étai que du faux. La plupart des gens ne se connaissaient pas et rares seraient ceux qui se recontacterons après ce party.
    Une femme s'approcha de nous un plateau à la main où étaient positionnés au millimètre près des petits fours. J'en pris un à la tomate vraisemblablement et le portais à ma bouche. Oui c'était bien à la tomate mais ce n'était pas assez chaud. J'avalais ma bouchée.

    _ Andréa est la pire de toutes les cruches, un peu plus et je l'assomme. Et sinon mis à part ça, dis-je en montrant d'un geste de la main la salle bondée de monde, tu continues tes études? Nous n'en avons pas vraiment discuté la dernière fois.
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MessageSujet: Re: « La fin des jalousies, c'est l'indifférence » ; Derek   « La fin des jalousies, c'est l'indifférence » ; Derek Icon_minitime1Dim 17 Jan - 2:57


    « La fin des jalousies, c'est l'indifférence » ; Derek Sans_t21 « La fin des jalousies, c'est l'indifférence » ; Derek Sanstitre22p

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Après le départ de Leandro et ma question formulait, je me concentrais à nouveau sur la conversion à venir, et sur les deux personnes me faisant face, dont une dont je me serais bien passée. « Oui c’était pas mal, même si les défilés ce n’est pas vraiment mon truc. Qu’en as-tu pensé toi, Andréa ? » Pas mal ? Et bien sans doute que ce n’était réellement pas sont truc malgré la foule de filles magnifiques que ça regroupait, le défilé avait été grandiose, autant les filles que les tenus, j’aimais beaucoup ce créateur et ce qu’il faisait. Bien que n’en ayant absolument rien à faire, j’écoutais la réponse de sa « compagne » mais sans même la regarder. « Mouais… Je m’attendais à beaucoup mieux quand même ! » Je retenais un rire, la jalousie suait de chacune de ses paroles, elle était totalement ridicule et frustrée à n’en pas douter ; franchement elle me faisait plus pitié qu’autre chose à bien y penser, elle ne pouvait rien faire d’autre que d’observer ce qu’elle ne pourrait jamais avoir. « C’est parce que tu regardes trop la télé. » Lui répondit Derek, ce qui eut pour effet de la faire bouder comme une gamine, sa tête était décidément bien vide et chaque mot ou geste qu’elle avait ne faisait que le prouver tout comme sa réponse. À nouveau j’aurais bien rit, mais je n’en avais même pas envie, au final elle m’ennuyait plus qu’autre chose. J’avais passé l’âge de partager la compagnie de ce genre de personne, et elle ne me rendait même plus jalouse ; au début certes ça avait été le cas, elle était avec Derek et tout ça, mais tout avait vite changé. Elle n’était rien d’autre que sa fille du moment et qui plus aussi imbécile que possible, non je ne voyais pas ce qui pourrait me faire la jalouser, à la rigueur si Derek était vraiment proche d’elle ou quoi mais ce n’était pas le cas. Derek lui rit de ses manières, ce qui eut pour effet de la vexer encore plus, si même lui se mettait à la rabougrir ouvertement - devant moi surtout - elle ne devait pouvoir le supporter, d’ailleurs elle ne tarda pas à dire qu’elle allait aux toilettes. Si elle pouvait se perdre en route et nous laisser seuls qu’est-ce que ça serait bien ! Bon en même temps si je voulais vraiment, je pouvais m’arranger pour la faire occuper par quelqu’un ici mais bon… Quoique, je pourrais toujours utiliser ça après si elle me dérangeait vraiment ! Je fus sortie de mes penser quand une serveuse s’approcha de nous pour nous apporter des petits fours, je laissais Derek se servir mais déclinait la proposition, je n’avais pas envie.

Répondant d’un signe de tête de temps à autre aux bonjours qu’on m’adressait en passant, je gardais tout de même mon attention tournait vers Derek qui d’ailleurs s’apprêtait à me parler. « Andréa est la pire de toutes les cruches, un peu plus et je l'assomme. Et sinon mis à part ça, tu continues tes études ? Nous n'en avons pas vraiment discuté la dernière fois. » Si elle l'insupportait tant que ça, pourquoi se donnait-il tant de peine ? Je ne le comprenais vraiment pas… Certes il aimait séduire et tout ce qui va avec mais il n’avait pas besoin de ça ! Je veux dire, il n’avait aucunement besoin d’avoir une nouvelle fille chaque soir dans son lit pour exister ! Enfin, c’était son choix et j’étais bien la dernière personne qui pouvait lui dire quoique ce soit… « Je ne te comprends vraiment pas, mais bon ça tu le sais déjà ! Pour te répondre, bien sûr je continue mes études. Le mannequinat n’est qu’un à-côté plaisant qui pourra m’aider dans le futur, pas une véritable perspective définitive d’avenir – bien que je compte le continuer en parallèle après, mais ça ne sera pas ma priorité. » Mon rêve demeurait le même, et je continuais donc logiquement les études entamées même si je pourrais m’en passer pour débuter une carrière. J’aimais ce que j’étudiais et puis je n’étais pas du genre à abandonner ou baisser les bras, j’irais jusqu’au bout de mon année et aurais mon diplôme qu’il me soit utile ou non. « Et toi, les études ? Toujours aussi peu passionné par les cours que tu connais déjà par cœur ? » Enfin du moins c’était ainsi qu’allaient les choses avant… qu’il ne se passe tout ce qu’il s’était passé. Il avait déjà vu tout ce qu’ils étudiaient alors forcément ça le barbait. Un peu comme moi qui savais déjà tout ce qu’on nous enseignait, à la différence près que ça ne m’ennuyait pas pour autant. Regardant de temps en temps autour de moi les invités et autres personnes présentes, je pouvais constater que la soirée se déroulait plus que mieux ; jusque là aucun éclat n’avait eu lieu, pas de crises, pas de paparazzi trop envahissant, c’était reposant ! Et puis j’étais heureuse que Derek soit là – bien entendu même s’il n’avait pas été là ma soirée aurait été bien plus qu’occupée mais à choisir je préférais que pour une fois ça soit par lui. Nous ne nous étions pas revus depuis l’incident de l’ascenseur, et depuis celui-ci on pouvait dire que nos relations étaient devenues un peu moins… tendues. Bien sûr rien n’effacerait ce qu’il s’était passé, mais d’être resté comme ça – et peut être aussi à cause de mon état d’alors… - avait fait changer, évoluer la situation entre nous. Il n’empêche que les choses ne seraient plus jamais les mêmes – la faute à qui ! – et que tout ça me manquait vraiment… sans parler de toutes ses filles que – bien qu’ayant conscience de n’avoir aucune raison d’être jalouse – je ne supportais pas de voir tourner autour de lui pour son plus grand plaisir. À vrai dire je ne savais réellement pourquoi : la « jalousie » qu’il soit avec d’autres ? Ou le fait que justement qu’il soit avec d’autres prouvait que lui avait totalement tourné la page… Cette réalité me sautait aux yeux, et pourtant je n’arrivais pas à la digérer. En fait, la relation de nos débuts ne me manquaient pas véritablement, parce que je savais que quoiqu’il arrive je ne pourrais plus jamais être une « simple amie », j’avais dépassé ce stade il y a bien longtemps et comme une idiote j’avais fui ce que je désirais ; j’avais vraiment un sérieux problème… il fallait être très conne pour faire un truc pareil, et très conne je l’avais été… Maintenant je devais supporter de le voir avec toutes ces pimbêches plus débiles et futiles les unes que les autres mais aussi le fait qu’au final – même si c’était temporaire – c’était elles qui l’avaient entre leurs bras, vers elles qu’il allait toujours. Mais je l’avais méritée n’est-ce pas..?

Je devais être masochiste de ma ravir de sa compagnie vu la situation… mais je le serais également si je me forçais à le tenir loin de moi ; en fait quoiqu’il je fasse la conclusion était la même, je détestais le compliqué de tout cela. Tout comme le fait que l’autre cruche ne tarderait surement plus à revenir s’incruster, ne manquant certainement pas de se montrer possessive envers Derek histoire de faire voir avec qui il était – comme si j’avais besoin de ça ! Soudainement j’eus chaud, très chaud, il fallait que je prenne l’air – je n’étais pourtant pas du genre claustrophobe ou agoraphobe, je ne savais même pas ce qu’il me prenait, mais il fallait que je sorte d’ici et vite ! « J’étouffe, je dois sortir ! » Je prenais juste la peine d’informer Derek, avant de m’élancer vers les baies vitrées qui donnaient sur les balcons. Avisant en vitesse un qui était vide, je sortais, et respirais à plein poumon une goulée d’air. Je n’avais même pas prêtée attention au fait que Derek m’ait suivi ou non dehors, j’avais vraiment besoin de sortir, je suffoquais presque à l’intérieur. Et là, appuyée sur la rambarde en pierre du balcon, tournant le dos à l’ouverture, je ne pensais qu’à reprendre une respiration normale et surtout à me calmer. Je n’avais jamais eu de crise de la sorte, je suppose qu’il fallait mettre ça sur le compte de la chaleur infernale qui régnait à l’intérieur avec la multitude de personnes présentes, et pour la plupart collées les unes aux autres.
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