Voisines et secouristes a la fois. [Lexie & Lydia]

Invité

Je pose mes sacs devant la porte de l'appartement, gardant seulement mon sac à main ou était mes clefs. D'habitude j'arrive à les trouver avec facilité, pourtant la j'avais beau mettre ma mains partout dans les recoins de mon sac, je les trouvais pas. Je m'accroupis et posa le sac à côté de mes livres de cours et du sachets de nourritures que je venais d'acheter à l'épicerie du coin de la rue. Je fouillais plusieurs fois de suite, histoire de tout vérifier amis je ne les trouvais pas. Je me rendis compte que j'avais donner mes clefs à Karen le matin même à la place de lui donner les sienne et les siennes étaient surement resté sur le bar de la cuisine. Elle avait fermé quand on est sortit ce matin. Sa ne m'étonnai pas. Ce genre de choses sa m'arrive constamment, j'ai tout le temps la tête ailleurs. Il fallait tout de même que je range mes cours et mes provisions et je ne pouvais pas déranger Karen à son boulot. Je pris donc tout les sacs et allais jusqu'à l'appartement le,plus proche. Je ne connaissais pas la plupart de mes voisins car a part pour dormir et déjeuner je n'étais jamais dans l'immeuble. Mais d'après ma colocataire ils étaient sympa. Déjà que je n'avais pas encore croisé la fille qui habiterait avec nous, alors savoir si les voisins étaient sympa sa m'avait pas laissé le temps. Je regardais le petit panneaux sur la porte ou était inscrit "Appart' de Lydia et Linds'". Je posa mon sac de courses et appuya sur la sonnette avec ma main libre. J'attendis moins d'une minute avant qu'on m'ouvre la porte. La jeune femme en face de moi était légèrement plus grande que moi, avait des cheveux bruns et des yeux apparemment bleus.

- Salut, je m'appelle Alexandra... Lexie. J'habite l'appartement vingt deux. enfaite je viens de me rendre compte que mes clefs étaient dans mon appartement et ma colocataire n'est toujours pas revenu. Je me demandais si sa vous dérangerais que je pose mes affaires ici.?

Rien à faire! Je n'avais strictement RIEN A FAIRE! Pas de rangements, pas de nettoyage, pas le drit de faire le basse parce que le proprio ne voulait pas que je branche mon ampli, rien d'interessant à la télé, pas d'ordi parce que Lin' était partie avec parce qu'on avait pas de clef USB et qu'elle devait montrer des je-sais-pas-quoi à je-sais-pas-qui... RIEN!!!
Je griffonai sur un bout de papier des mots vides de sens en espérant que l'inspiration pour une chanson me vienne. Je ne voulais pas allumer ma musique parce que je n'aime pas l'écouter sans rien faire.
Faire une sieste? Bah voyons, comme si j'étais fatiguée.
Le travail? JOUR DE REPOS!!! Voila pourquoi je déteste en prendre.
Soudain, la sonette se mit à retentir. Je me levai en grognant et ouvrit la porte d'entrée. Une petite brune aux yeux d'un bleu encore plus clair que le mien et d'environ mon âge se trouvait devant moi. Elle avait plein de sacs et avait l'air plutôt embarassée.

- Salut, je m'appelle Alexandra... Lexie. J'habite l'appartement vingt deux. enfaite je viens de me rendre compte que mes clefs étaient dans mon appartement et ma colocataire n'est toujours pas revenu. Je me demandais si sa vous dérangerais que je pose mes affaires ici.?

Je la regardai un moment. Je devais bien admettre qu'elle semblait avoir besoin de moi.

- 'sûr, miss, entre, fais comme chez toi, lui dis-je en m'effaçant. Moi c'est Lydia. Ajoutai-je.

ENFIN quelque chose à faire! Si je croyais en Dieu, j'aurais dit que c'était lui qui m'avait envoyé cette Alexandra.

- Alors comme ça, tu as oublié tes clefs?

Invité

Elle me sourit. Elle semblait en effet gentille. Elle m'autorisa a entrer dans l'appartement, j'obéis. Je mis un pied à l'intérieur et elle ferma ensuite la porte derrière moi. Elle jeta un regard vers une sorte de table basse à l'entrée comme pour me dire de déposer mes affaires là. Je mis d'abord mes livres de cours et mes cahiers, puis posa ensuite mon gros sacs de nourritures. Quand à mon sac à mains je le mis au pied de la table.Je me détendit le dos, wahwtch sa fait mal! Huit kilos, plus huit autre et encore trois sa fait pas mal tout de même. Bon ok je suis sensible du dos mais franchement, c'est une torture! Vivement que je sois plus à l'école. Plus que quelques petites années. Lydia m'interpella et je me dirigeais donc vers elle, plus au centre de l'appartement. Aux premiers coups d'œil il ressemblait beaucoup au notre, a part le sens des salles et la décoration évidemment.

<< - Je suis très tête en l'air, j'oublie tout tout le temps. Ou bien je les perd. >>

Je haussais les épaules et soulevais un de mes sourcils. Elle sourit. Je posais mes yeux sur une basse posée sur son support dans le coin de la salle. Elle était superbe. J'étais pas une pro de musique mais je me débrouillais tout de même en guitare et en piano. Les nombreuses de leçons que mes parents nous ont obligés a suivre mes parents à ma sœur et moi on servit enfin de compte! J'étais ébahi par la basse.

<< - Whaw! Elle est superbe! Elle est à toi? >>

je m'étonnais que ma table basse n'est pas craquée sous le poids de tous ses sacs. Et ma table n'était pas la seule à être sur le point de se briser, le dos de la demoiselle semblait ne pas tenir le choc à en juger par les étirements qu'elle fit.
Elle m'expliqua qu'elle était tête en l'air d'un air désinvolte quand ses yeux se posèrent sur ma basse. Je souris à sa remarque et suivit son regard.

<< - Whaw! Elle est superbe! Elle est à toi? >>

- Oui. C'est mon petit bébé, nous deux c'est pour la vie, dis-je en m'approchant d'elle.

Je lui fis signe de faire de même et lui sourit.

- La seule chose dont je sois dépendante, avec la cigarette, même si c'est bien plus important que 15 paquets de cigarettes. Mais je sais par expérience que seuls ceux qui aiment la musique s'extasient devant une basse. Quel instrument tu joues?

Invité

On se dirigea vers sa basse. Elle était vraiment sublime. Majestueuse. Je me souviens que ma sœur en avait eu une presque identique au Noël de mes treize ans, j'en avais été morte de jalousie. Mais chaque fois que je pouvais, j'entrais dans sa chambre et je l'essayais. Celle de Lydia était encore plus belle que celle de ma sœur Meghan. En entendant Lydia en parler, je compris que c'était une réelle passionnée. Je lâcha un petit rire quand elle parlait de sa basse comme un amant.

<< - Yep. Piano et guitare depuis que j'ai sept ans. J'aurais jamais cru aimer autant la musique. C'est mes parents qui m'ont forcer à en faire et autant dire que je trouvais sa nul! Mais bon au fur et a mesure du temps j'ai vraiment apprécier. >>

Je lui souris et en finissant de regarder la basse, je promenais mes yeux un peu partout dans l'appartement. Il était super chouette. Il y avait en effet une légère odeur de tabac mais elle ne se ressentait pas facilement.

<< - On m'a toujours dis que les gens qui fument sont en général très stressé. Serais tu une stressé Lydia? >>

Je l'avais dit sur le ton de la plaisanterie car enfin de compte la plupart de mes amis sont des accrocs a la cigarettes.

<< - Yep.
Piano et guitare depuis que j'ai sept ans. J'aurais jamais cru aimer
autant la musique. C'est mes parents qui m'ont forcer à en faire et
autant dire que je trouvais sa nul! Mais bon au fur et a mesure du
temps j'ai vraiment apprécier. >>

Elle me sourit en regardant la basse puis regarda la pièce d'un air appréciateur. Je vis alors un sourire espiègle se former sur son visage.

<< - On m'a toujours dis que les gens qui fument sont en général très stressé. Serais tu une stressé Lydia?

Je ris.

- Je suis sûre que ceux qui t'ont dit ça sont des non-fumeurs. Rétorquai-je. Non, je suis pas stressée... enfin pas que je sache, mais j'ai commencé durant une période qui marquait le paroxysme de mon attitude rebelle. J'en avais marre de mes parents et de leurs visions des choses débiles, et j'avais donc décidé de faire tout ce qu'ils détestaient. Je me suis mise à fumer, je me suis fais faire un tatouage et un piercing et j'ai perdu ma virginité dans les toilettes d'une boîte de nuit. Et je crois qu'une nuit où j'étais bourrée, j'ai essayé le LSD, mais ça je ne suis pas sure, parce que je ne me rappelle pas de cette soirée. J'avais quinze ans.

Je continuais de sourire en attendant sa réaction. Personnellement, je ne regrettais pas - sauf ce qui concernait la cigarette, car j'étais accro et ça finnirait par me tuer - mais j'avais remarqué que la plupart des gens étaient scandalisés par mon attitude.

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